Ce que la lumière m’apprend

Mon rapport à la lumière naturelle, en tant que photographe nomade

Il y a des jours où je pars sans but.
Pas de carte, pas d’heure précise. Seulement cette sensation : celle qu’il y aura peut-être… quelque chose.
Et ce quelque chose, bien souvent, c’est la lumière.

Je ne cours pas après elle. Je l’attends, je l’écoute.
Elle m’indique quand m’arrêter. Quand déclencher. Quand juste poser l’appareil et regarder.

Il y a la lumière qui glisse sur une joue, celle qui s’infiltre entre deux arbres, celle qui transforme une silhouette en émotion.
Elle me parle plus que les visages parfois. Elle raconte sans jamais mentir.

Je ne travaille qu’avec elle.
Pas de flash, pas de studio.
Je préfère la lumière d’un matin couvert à celle d’un projecteur froid.
Parce qu’elle varie, parce qu’elle vit.
Parce qu’elle ressemble aux gens que je photographie : imparfaite, changeante, vraie.

Souvent, je me dis que je ne photographie pas les gens.
Je photographie la lumière sur les gens.
Ce petit éclat dans l’œil, ce reflet sur la peau, ce voile dans l’air.
C’est elle qui donne du sens à l’instant.
Moi, je me contente de suivre.

Et vous ?
Vous aimeriez capturer votre lumière, telle qu’elle est aujourd’hui ?
Je propose des séances photo en extérieur, douces et naturelles, toujours à la lumière du moment.
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