Ce que je vois sans être vu

Photographier sans que l’autre me voie

Il y a des instants que je ne veux pas interrompre.
Des gestes, des regards, des silences, trop purs pour qu’on y glisse un “regarde-moi”.
Alors je reste à distance. Je me tais.
Je me fonds dans l’ombre, dans la lumière, dans ce qu’il y a entre les deux.

Photographier sans être vu,
ce n’est pas voler —
c’est respecter.

C’est capter un moment fragile, sans le déformer.
C’est dire : je t’ai vu, vraiment, mais je ne t’ai pas dérangé.

Souvent, je déclenche quand la personne ne sait même pas que je suis là.
Un passant. Un enfant qui rit. Une main sur une nuque.
Je n’ai pas besoin de poser. Je n’ai pas besoin de parler.
Je veux juste garder ce qui aurait existé même sans moi.

C’est dans ces images-là que je me reconnais le plus.
Pas parce qu’elles sont parfaites.
Mais parce qu’elles sont vraies.
Parce qu’elles ont été prises dans le souffle naturel de la vie.

Et parfois, la personne découvre la photo plus tard.
Elle se reconnaît, mais elle ne se souvient pas que j’étais là.
Et là, je sais que j’ai fait ce qu’il fallait.

Vous aussi, vous aimeriez une image sincère de vous, sans effort, sans pose, sans filtre ?
Je propose des séances naturelles, dans la douceur et l’instant.
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